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Alors elle n’a pas cliqué. Pas sérieuse. Elle a défunt son portable, pris un carnet, et s’est mise que ordonner. Pas pour rapporter la vie. Juste pour tourner conseils avant de consulter en ligne ce qui tournait en anneau. Elle a amorcé par des répliques courtes, maladroites. Puis des fragments sont présents. Des morceaux de ce qu’elle n’osait pas dire à voix très haute. Elle n’écrivait pas pour devenir lue. Elle écrivait pour vider ce qui l’empêchait d’entendre. La consultation avait eu état un mercredi en subtil de journée. Par téléphone. Ce qu’il avait ressenti, ce n’était pas un choc. C’était une forme d’alignement. Une goût d’être salué sans sembler interrogé, d’être considéré sans sembler limité à une question. Le voyant avait porté en lumière une dynamique que Fabien connaissait, mais qu’il n’avait jamais pèse déterminer. Ce n’était pas une renseignement. C’était un coentreprise. En raccrochant, il n’avait pas ressenti la nécessité de tout se transformer. Il s’était simplement senti mieux orienté. Le fracas intérieur avait trouvé un essieu. Il ne s’agissait plus d’attendre une aventure extérieur. Il s’agissait d’assumer qu’une mutation était en cours, lente, silencieuse, mais irréversible.

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